Pourquoi CANEVA était le seul acteur légitime pour créer le label AĒKO — et pourquoi Bureau Veritas s’est imposé naturellement

Créer un label dans l’univers des marchés publics n’est pas un exercice cosmétique. C’est une prise de responsabilité. Un label engage ceux qui le portent, ceux qui s’y fient, et l’écosystème tout entier.

Le label AĒKO n’est pas né d’une intuition marketing.

Il est né d’un constat de terrain, répété, documenté, éprouvé pendant près de vingt ans par CANEVA, au cœur même des réponses aux appels d’offres. Il est également la conséquence de l’évolution d’un marché, d’un marché qui animé par l’accès et l’usage à tout va des «GPT’S » génère des réponses aussi qualitatives qu’aléatoire et donc de moins en moins fiable pour nos donneurs d’ordres. La notion de sincérité ou plus exactement d’insincérité devient un point clef de la relation privé-public.

Un constat que seuls les praticiens pouvaient formuler

Depuis 2006, CANEVA n’observe pas la commande publique: nous la pratiquons 

Externalisation des réponses, pilotage d’appels d’offres stratégiques, refonte de mémoires techniques, diagnostics d’organisations, PMO AO complexes…

Ce sont des milliers de dossiers, des centaines d’organisations, tous les secteurs, toutes les tailles d’entreprises.

De cette immersion continue ressort un constat clair :

• Les entreprises répondent souvent sans cadre structuré,
• Les pratiques sont très hétérogènes,
• La qualité des offres est inégale, parfois déconnectée du réel,
• La confiance entre acheteurs publics et candidats s’érode.

Ce diagnostic n’est pas théorique.

Il est systématiquement mis en lumière dans les missions de Diagnostic 360° menées par CANEVA, où reviennent les mêmes faiblesses : absence de process, pilotage insuffisant, mémoires techniques peu sincères ou peu maîtrisés, faible capitalisation, déficit d’alignement, faiblesse d’expertise, etc

Ce niveau de lecture n’est accessible qu’à ceux qui sont côtoient les pratiques chaque jour un peu plus, pas à ceux qui la commentent.

Pourquoi seul CANEVA pouvait concevoir un référentiel aussi profond ?

Un référentiel crédible ne se décrète pas. Il se construit à partir de situations vécues, de réponses gagnées, de réponses perdues, de retours d’attribution, de dialogues avec les acheteurs publics.

CANEVA dispose d’un actif unique sur le marché français :

• Un volume d’appels d’offres traités incomparable,
• Un benchmark vivant, continuellement enrichi,
• Une vision transversale des organisations de réponse (stratégie, process, équipes, outils, gouvernance),
• Une capacité à relier la qualité de l’offre à la réalité opérationnelle de l’entreprise.

Le référentiel AĒKO est directement issu de cette matière brute. Il ne repose ni sur des principes abstraits, ni sur des déclarations d’intention. Il formalise ce que les entreprises les plus matures font déjà — et ce que les autres doivent apprendre à faire.

C’est précisément cette profondeur qui distingue AĒKO d’un simple label d’image.

AĒKO : un label de management de la réponse aux appels d’offres

AĒKO n’évalue pas une entreprise sur ce qu’elle affirme être, mais sur la manière dont elle structure, pilote et sécurise ses réponses aux marchés publics.

Le référentiel couvre notamment :

• La stratégie de réponse et de sélection des AO,
• La formalisation des process,
• La structuration des rôles et responsabilités,
• La qualité, la sincérité et la traçabilité des mémoires techniques,
• La gestion des risques,
• La capacité d’amélioration continue.

Ce positionnement est directement cohérent avec l’ADN CANEVA : le management de la performance dans la réponse aux appels d’offres.

Aucun cabinet généraliste, aucun éditeur logiciel, aucun acteur institutionnel ne dispose de cette double légitimité : expertise méthodologique + expérience opérationnelle massive.

Pourquoi le partenariat avec Bureau Veritas était une évidence ?

Un label sans tiers de confiance n’à qu’une valeur particulièrement modérée et peu engageante. Dès l’origine, CANEVA a posé un principe non négociable :

AEKO ne serait jamais juge et partie. Le choix de Bureau Veritas s’est imposé naturellement :

• Acteur mondial de référence de l’audit et de la certification,
• Culture historique de l’évaluation de systèmes de management,
• Indépendance totale vis-à-vis des entreprises auditées,
• Crédibilité immédiate auprès des acheteurs publics et des institutions.

La répartition des rôles est claire :

• CANEVA conçoit le référentiel, à partir de son expertise métier,
• Bureau Veritas audite, contrôle et atteste la conformité.

Ce schéma garantit :

• La robustesse du label,
• La sincérité des engagements,
• La confiance des acheteurs publics.

Sans Bureau Veritas, AĒKO serait une initiative privée. Avec Bureau Veritas, AĒKO devient un repère structurant du marché.

AĒKO : la suite logique de l’histoire CANEVA

AĒKO n’est pas une rupture stratégique. C’est l’aboutissement naturel de près de vingt ans d’accompagnement :

• Structurer les réponses,
• Professionnaliser les organisations,
• Sécuriser la conformité,
• Améliorer durablement les taux de transformation.

Après l’externalisation, le conseil, les diagnostics, le PMO et le déploiement de Diagnostic 360 particulièrement profonds, AĒKO vient poser un cadre durable, mesurable et partagé.

Il répond à une conviction simple : La performance sur les marchés publics ne peut plus reposer sur l’improvisation.

Conclusion : une légitimité construite par le réel

Si CANEVA était le seul acteur en mesure de créer AĒKO, ce n’est ni par posture, ni par ambition isolée.

C’est parce que :

• L’expérience est là,
• Le volume est là,
• Le benchmark est là,
• La responsabilité vis-à-vis de la commande publique est assumée.

Et si Bureau Veritas s’est imposé comme partenaire, c’est parce que la confiance ne se proclame pas, elle s’audite.

AĒKO n’est pas un label de plus. C’est un standard de maturité, conçu par des praticiens, audité par « LE » tiers de confiance, au service des entreprises et des acheteurs publics.

Faire appel à un expert en sourcing marchés publics

‍